L'aquarium des lagons
Je m'étais aventuré, dans mon dernier billet, à vous aguicher en vous annonçant le retour de l'été, des températures agréables et d'un soleil généreux... Mal m'en a pris, car depuis, il ne cesse de pleuvoir et de faire froid ! Et oui, comme dirait l'autre, c'est balo ! Tout cela pour vous dire qu'en raison d'un temps plus que médiocre, nous avons décidé, ce dimanche, de visiter le nouvel aquarium.
D'une architecture moderne assez cubique, l'extérieur de la structure est sommes toutes assez anodin. Ce qui marque le visiteur, ce sont, dès l'entrée, les volumes maîtrisés. Ni trop vastes, ni trop exiguës, les salles offrent un sentiment de liberté tout en respectant la confidentialité d'un tombant. Il me semble que la réussite de l'architecte réside dans cet équilibre.
Spacieuses et agréablement mises en scène les salles sont très conviviales...
La présence de grands bassins ouverts à la vue du public est un régal !
Qu'il s'agisse de la salle dédiée à l'eau douce et à la mangrove, de celle présentant le lagon ou encore de l'espace consacré au récif, la disposition des bassins, leur population et les panneaux de présentation sont d'une très grande qualité. Vous aurez le sentiment d'évoluer parmis les raies, les tortues ou les requins. Si la visite prend une bonne heure, vous resterez beaucoup plus longtemps, happé par le grand bassin où évoluent des myriades d'habitants des océans.La présence de grands bassins ouverts à la vue du public est un régal !
Coraux fluorescents...
"Vol" de tortue...
Cet aquarium est, à mon goût, une vraie réussite. Les mauvaises langues trouveront toujours à redire sur la taille des bassins, le trop peu de salles... Mais croyez moi sur paroles, nous avons passé un moment de vrai bonheur et cela n'est pas anodin de nos jours...
Vous pouvez continuer la visite par le biais de la galerie dans notre rubrique "En image", sur le site officiel de l'aquarium en cliquant sur le lien en début de billet ou, pour les plus chanceux, vous rendre au plus vite sur place !
Comme en plongée, les pieds au sec !