Avant que l'homme blanc n'arrive...
Voilà, une deuxième semaine de passée à parcourir les lignes de crêtes de Gouaro Deva. De nombreux sites anciens se révèlent sous nos pas. Perchés en altitude ou plus proches de la plaine, ils sont les gardiens des temps anciens. Mon esprit s'amuse à vouloir visualiser l'aspect de ces paysages agrémentés de cases ou de tarodières (culture humide en terrasse couvrant les versants)... C'est un vrai bonheur... Cette nature généreuse nous a encore offert de quoi améliorer nos repas. Cerf, en surpopulation, poissons suite un à coup de pêche en bord de mer ou encore anguille surprise dans un creek.
Les cerfs se déplacent par troupeaux...
Les cerfs se déplacent par troupeaux...Une première aussi cette semaine : j'ai attrapé mon premier cochon sauvage après une course effrénée. Ce petit poca, comme dénommé ici, était abandonné et sera un apport de premier ordre pour les festivités de fin d'année...
Souriez, vous êtes filmés !
Souriez, vous êtes filmés !Je tenais à vous présenter cette semaine l'aspect "mer" de Gouaro Deva. Une longue plage de sable blanc de 13 kilomètres. Peu de personnes fréquentent ce lieu, ce qui lui donne une dimension toute particulière. Nous avons effectué un "coup de pêche" à pied ! Nous avons posé la senne (voir la galerie de la semaine) et lancé l'épervier. J'ai profité de l'instant pour filmer Ito, c'est donc l'objet du Top Chrono de la semaine.
L'estuaire de la Deva...
L'estuaire de la Deva...
Ito guettant les bancs de mulets...
Voilà pour cette semaine... Plus long, plus tard, lorsque que j'aurai intégré tout ce que je vis en ce moment. Rassurez vous, il y en aura encore un peu en fin de chaque semaine...