Au rythme du poulet...
La cuisine étant une composante culturelle non négligeable, je vous propose donc aujourd'hui ma recette du poulet soyo. Ma recette, car comme partout, si la base est connue de tous, chacun y apporte son petit truc ou son ingrédient supplémentaire... Comme accompagnement, je vous propose également de vous faire découvrir (sans le son car c'est interdit par la loi ;-) ) un jeune groupe rock calédonien dont le nom se mariait fort bien à la recette du jour : les "mutants love chicken" !
Le piment oiseau, l'indispensable...
Le piment oiseau, l'indispensable...Environ pour 4...
1 beau poulet
2 cuil. à soupe d'huile
4 gros oignons
2 à 3 grands verres de soyo (c'est vous qui voyez...)
2 citrons pressés
1 poivron rouge
1 poivron vert
1 poivron jaune
1 cuil. à soupe de coriandre (persil chinois) hachée, sel, poivre
1 piment oiseau émincé ou
1 bouillon de 3 piments oiseau fait dans 30 cl d'eau
éventuellement, 1 petit pot de crême fraîche... (je sais, c'est pas light !)
Découpez le poulet en huit morceaux. Mettez-les à dorer dans l'huile très chaude pendant 10 mn. Ajoutez les oignons coupés en tranches, le soyo, le piment émincé (si c'est le bouillon, qui sera nettement moins piquant, attendez la crême fraîche) le jus de citron et les poivrons découpés en petits dés. Salez, poivrez, mélangez bien. Baissez le feu. Laissez cuire environ 45 mn à feu doux pour que le poulet rende son jus. Ajouter (ou non) la crême fraîche (le cas échéant, le bouillon de piment). Mélangez bien. Laissez cuire 10 mn. Parsemez de persil chinois et servez très chaud accompagné de riz blanc.
C'est relativement vite fait, pour un groupe c'est très bien en plat unique et très rentable ! Pour le persil chinois, si vous n'en trouvez pas, du persil classique fera l'affaire. Certains mettent du sucre, moi je préfère le jus de citron et les poivrons, question de goût. Avec le temps les quantités varient tout comme certains ingrédients et ce, en fonction de vos aspirations gustatives, c'est là tout l'art de la cuisine !
Le premier album des "mutants love chicken" :
the lost, the loser and the boss...
C'est relativement vite fait, pour un groupe c'est très bien en plat unique et très rentable ! Pour le persil chinois, si vous n'en trouvez pas, du persil classique fera l'affaire. Certains mettent du sucre, moi je préfère le jus de citron et les poivrons, question de goût. Avec le temps les quantités varient tout comme certains ingrédients et ce, en fonction de vos aspirations gustatives, c'est là tout l'art de la cuisine !
Le premier album des "mutants love chicken" :the lost, the loser and the boss...
Jeune groupe calédonien, disais-je, que ces "Mutants love chicken". Cela a fait 1 ans en octobre que cette formation a vu le jour et pourtant on pourrait croire à une plus longue expérience. En effet, Matthieu Lextrait(guitare et chant), Philippe Haxaire (batterie et chant) et Romain Orsoni (basse), produits par "Flying Fox Production", nous offre de la pop rock de très bonne qualité aux consonnances australiennes. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien qu'ils ont fait enregistrer et mixer ce premier album par Tim Carr au "studio 301" à Sydney. La fraîcheur de ces 12 titres, la fluidité des arrangements ainsi que le dynamisme que répandent les interprètes font, sans nul doute, de ce compact, l'évènement musical de ce début d'année 2007. Pour vous faire une idée par vous même, cliquer ICI...
Dans un cas comme dans l'autre : bon appétit et à la semaine prochaine !
Dans un cas comme dans l'autre : bon appétit et à la semaine prochaine !